Près de 20 milliards d’euros par an en France : tel serait le coût socio-économique engendré, au minimum, par la pollution de l’air intérieur, selon une étude publiée mercredi 9 avril et réalisée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) et le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).
Chaque année, en France, la pollution de l’air intérieur serait responsable de près de 20 000 décès prématurés. Le coût de cette mortalité et de la baisse de qualité de vie des personnes malades s’élève à 18 milliards d'euros, auxquels viennent s’ajouter les pertes de journées travaillées, et les frais de prise en charge des soins, et ceux liés à la recherche.
Près de 20 milliards d’euros par an en France : tel serait le coût socio-économique engendré, au minimum, par la pollution de l’air intérieur, selon une étude publiée mercredi 9 avril et réalisée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) et le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).
Chaque année, en France, la pollution de l’air intérieur serait responsable de près de 20 000 décès prématurés. Le coût de cette mortalité et de la baisse de qualité de vie des personnes malades s’élève à 18 milliards d'euros, auxquels viennent s’ajouter les pertes de journées travaillées, et les frais de prise en charge des soins, et ceux liés à la recherche.